Sa présence m’augmente, son absence me diminue.
Le monde peut s’effondrer, d’ailleurs il s’effondre, mais son sourire me sauve.
Sa présence m’augmente, son absence me diminue.
Le monde peut s’effondrer, d’ailleurs il s’effondre, mais son sourire me sauve.
Les yeux tombent, les joues tombent, le souffle est court : je suis triste.
Et moi qui lui dit combien je l’aime, puis elle me répond : « je l’aimerai toujours plus. ». Et je me suis dit qu’on n’avait jamais aussi bien dit, aussi bien décrit ce que c’est d’être une mère.